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Quelques fausses croyances

Comprendre la Douleur et la Posture : Déconstruire les Fausses CroyancesPrenez rendez-vousDe nos jours, de nombreuses idées préconçues et mythes persistent concernant la douleur et la posture. Ces croyances erronées peuvent être néfastes, influençant négativement la santé et le bien-être des individus. Explorons quelques-unes de ces idées reçues et découvrons ce que la science en dit réellement.Les Croyances les Plus CourantesLa Douleur au Dos et la Posture au TravailCroyance : « Ma douleur au dos est due à ma mauvaise posture au travail. »Réalité : Il n’existe pas de posture universellement mauvaise. Ce qui importe davantage, c’est la durée pendant laquelle une même posture est maintenue. Pour atténuer les douleurs, il est recommandé d’adopter des mouvements variés, de changer régulièrement de position et de faire des pauses.Le Faux MouvementCroyance : « Je me suis fait mal dans le dos mais c’est normal, j’ai fait un faux mouvement. »Réalité : Il n’existe pas de mouvement spécifique qui puisse directement provoquer une douleur. La douleur résulte souvent de l’interaction complexe de divers facteurs externes tels que le stress, la fatigue, le manque de sommeil ou encore des charges physiques ou psychiques excessives.Le Nerf CoincéCroyance : « J’ai une douleur dans le cou qui descend entre mes omoplates, j’ai dû me coincer une vertèbre ou un nerf. »Réalité : Il est rare qu’il y ait un véritable blocage physique. Cette impression est souvent basée sur des perceptions erronées induites par la douleur elle-même et les croyances préexistantes.Le Repos CompletCroyance : « Je me suis fait mal au dos donc je vais arrêter le sport et me mettre au repos pendant quelques semaines. »Réalité : L’inactivité prolongée peut aggraver les douleurs musculo-squelettiques. Il est recommandé de reprendre une activité physique de manière progressive plutôt que de rester immobile. Il n’y a pas de sport spécifique qui soit meilleur qu’un autre pour prévenir ou soulager les douleurs ; l’important est de choisir une activité plaisante et d’y aller progressivement.L’Arthrose et la DouleurCroyance : « J’ai mal aux genoux à cause de l’arthrose. »Réalité : L’arthrose est un vieillissement normal du corps (comme les cheveux blancs ou les rides) et ne doit pas automatiquement être attribuée à la douleur ressentie. L’activité physique régulière est souvent l’un des meilleurs traitements pour l’arthrose, car elle renforce les muscles et améliore la flexibilité articulaire.Les Conséquences des Croyances ErronéesCes croyances erronées contribuent à répandre du nocebo, du catastrophisme et peuvent même entraîner une peur de bouger, appelée kinésiophobie. Il est crucial de remettre en question ces idées préconçues et de promouvoir une meilleure compréhension de la douleur et de la posture pour favoriser une meilleure santé et un bien-être physique et mental.ConclusionPour une meilleure qualité de vie, il est essentiel de démystifier les idées reçues sur la douleur et la posture. Une compréhension correcte de ces notions permet de prendre des décisions éclairées et de maintenir une bonne santé physique et mentale.Vous ressentez des douleurs persistantes ou vous cherchez simplement à améliorer votre bien-être général ? Ne laissez pas vos inconforts entraver votre qualité de vie. Contactez-moi dès aujourd’hui pour prendre rendez-vous par téléphone au 06 60 83 82 44 ou sur Doctolib.

Ces aliments qui boostent notre système immunitaire

Ces aliments qui boostent notre système immunitaire

Pour diverses raisons (fatigue, stress, mauvaise hygiène de vie…), notre système immunitaire est souvent fragilisé et débordé par les agressions. Plusieurs initiatives, en particulier sur le plan alimentaire, permettent de le stimuler et de le renforcer. Nous allons voir ensemble les différents aliments qui boostent notre système immunitaire. Le système immunitaire Le système immunitaire n’est pas juste un paramètre sur lequel jouer, mais tout un système, comme le nom l’indique. Pour qu’il fonctionne le mieux possible, c’est tout le mode de vie qui doit être équilibré. La santé de la flore intestinale (ou microbiote) est intimement liée à celle du système immunitaire, c’est donc a priori la première barrière à chouchouter afin d’éviter de tomber malade. Le microbiote représenterait 70 % de l’efficacité du système immunitaire. Donc pour que ces bactéries vous aident à lutter contre celles qui sont pathogènes, il faut leur fournir un environnement favorable.  Le système immunitaire lutte contre les éléments pathogènes comme les virus, les bactéries ou les corps étrangers responsables d’infections ou de maladies. Dans ce contexte, intégrer des aliments spécifiques à son régime alimentaire pour aider à renforcer et booster le système immunitaire semble tout indiqué. Certains micronutriments (vitamines, minéraux et oligoéléments) semblent jouer un rôle direct sur le système immunitaire. Les peuvent booster vos défenses immunitaires notamment en période hivernale. Voici ceux à privilégier contre les infections saisonnières: La Vitamine A Elle soutient les muqueuses et construit ainsi la barrière la plus importante contre les envahisseurs. L’étape préliminaire à la vitamine A, le bêta-carotène, est essentiel pour cela. La vitamine A stimule la prolifération des globules blancs et la production d’anticorps. Ainsi, le manque de vitamine A réduit la réponse immunitaire à certains virus dont celui de la rougeole, et à certaines bactéries dont celle du tétanos. À retrouver par exemple dans : fruits et légumes jaunes, orange et rouges et dans le foie de poisson. La Vitamine C La vitamine C est un puissant antioxydant qui permet de lutter contre les radicaux libres, limiter l’oxydation des globules blancs macrophages mais aussi soutenir le système immunitaire, surtout chez les personnes qui en manquent. Elle stimule en effet les réactions immunitaires en augmentant la fabrication des anticorps. De plus elle favorise l’absorption du fer. C’est la vitamine anti-infection par excellence. Une consommation quotidienne d’aliments à forte teneur en vitamine C est une stratégie classique mais efficace. Pensez aux agrumes, aux fruits rouges, cassis en particulier, kiwi, et à divers légumes (brocolis, poivrons, choux…). La Vitamine D La vitamine D est reconnue pour ses bienfaits sur notre santé osseuse ainsi que notre système immunitaire. Le corps la synthétise lorsqu’il est exposé au soleil. L’hiver est donc souvent une période de l’année source de carence.  Contrairement à la vitamine C, on ne retrouve pas spécifiquement de fruits et légumes riches en vitamine D. On trouve cette dernière principalement dans les poissons et les laitages (le saumon, le thon, la sardine, les œufs etc…). Le Zinc Le zinc est un oligoélément indispensable à notre organisme. Présent en petite quantité dans notre organisme, il a un fort pouvoir antioxydant qui permet de booster nos défenses immunitaires. Il a aussi un effet très bénéfique sur la peau et les cheveux.  Les sources de Zinc sont principalement représentées par les viandes (foie), poissons et fruits de mer (huitres), céréales complètes (pain complet) et sera mis en réserve dans l’organisme dans les os et les muscles. Le Magnésium Classiquement décrit comme l’oligoélément « anti-fatigue » ou « anti-stress », on en oublie qu’il participe également à la fabrication des anticorps. Les sources se répartissent autour des produits de la mer, le chocolat, le riz et pain complet, certaines eaux minérales. Le Cuivre Oligoélément dont on parle peu, bénéfique, il tient son effet immunitaire par ses propriétés toxiques vis-à-vis des micro-organismes tels que les virus et bactéries, d’où son effet bactéricide et virucide. Les sources de Cuivre sont variées : certains fruits (poire, orange, pomme), fruits secs (amandes, noisettes), légumes, abats, poissons et fruits de mer (huître, coquille St Jacques), œufs. Le Sélénium Le Sélénium est un antioxydant important et stimule la production d’anticorps. Il intervient au niveau immunitaire en maintenant “en éveil” un pool de globules blancs (lymphocytes T). Lié à certaines protéines, il joue un rôle crucial dans la synthèse des hormones thyroïdiennes. Les sources sont principalement les aliments carnés, produits de la mer, les œufs, le lait, les céréales. En conclusion sur ces aliments qui boostent notre système immunitaire Vous savez maintenant quels aliments boostent votre système immunitaire. On ne le répètera jamais assez : une pratique d’activité physique régulière, une alimentation saine et équilibrée suivi d’un sommeil récupérateur forment la trilogie indispensable pour rester en bonne santé. Retrouvez plus d’articles sur en cliquant ici. Vous pouvez prendre rendez-vous via la page d’accueil ou directement sur Doctolib en cliquant ici.

colopathie fonctionnelle

Ostéopathie et Colopathie Fonctionnelle

La colopathie fonctionnelle, connue aussi sous le nom de Syndrome de l’Intestin Irritable (SII) ou côlon irritable, est une affection fréquente. Elle touche environ 15 % de la population, et plus particulièrement les femmes généralement entre 30 et 40 ans. Bien qu’invalidante, la colopathie fonctionnelle est considérée comme une maladie bénigne. La Colopathie Fonctionnelle : Définition : La colopathie fonctionnelle, est une maladie gastro-intestinale chronique et récurrente. C’est une irritation des organes du transit entraînant des troubles digestifs, du type : constipation, diarrhée, ballonnements, flatulences, crampes, maux de ventre. Cependant, la colopathie fonctionnelle n’est pas grave en soi mais altère considérablement la qualité de vie des personnes qui la subissent. Aucune pathologie organique n’est détectée, en effet, l’examen clinique est négatif, et pourtant, l’intestin s’irrite facilement. On sait que le syndrome n’est jamais la cause d’un seul facteur mais de plusieurs, parmi lesquelles des perturbations de la flore intestinale, des troubles de la motricité et de la sensibilité intestinales, un état inflammatoire, ainsi que des facteurs psychologiques. Traitements : Les principaux traitements médicamenteux administrés comprennent des antispasmodiques, des laxatifs pour les formes constipées, des médicaments agissant sur l’axe cerveau-intestin. Compte tenu de la complexité des mécanismes de la pathologie, le traitement actuel vise principalement à soulager les plaintes du patient (en grande partie inexpliqués par la médecine classique) et à améliorer son bien-être global (antidépresseurs), des médicaments agissant sur l’écosystème intestinal (antibiotiques et probiotiques). Le stress joue un rôle majeur dans cette maladie, il est important de diminuer au maximum les situations d’anxiété. L’hypnose, la psychothérapie et la sophrologie permettent de travailler sur ce facteur stress. Colopathie fonctionnelle et Ostéopathie : De nombreuses études ont montré l’efficacité d’un traitement ostéopathique de la colopathie fonctionnelle. (1, 2) L’accompagnement ostéopathique offre la possibilité de diminuer les symptômes, en évitant des effets secondaires des traitements symptomatiques médicamenteux. L’ostéopathe va, comme au cours de chaque séance, prendre en charge le patient de façon globale. En d’autres termes, il travaille de façon à rétablir un certain équilibre dans le corps afin d’optimiser le fonctionne de l’organisme. Le but de l’ostéopathe va être tout d’abord de définir l’environnement du patient (vie personnelle, professionnel, état de stress…), ainsi que ses habitudes de vie et son alimentation. Par la suite, le traitement ostéopathique consistera à redonner ou rééquilibrer la motricité du colon. Pour ceci, l’ostéopathe traitera le colon lui-même, mais pourra aussi investiguer les organes voisins, le bassin osseux et le rachis dorso-lombaire avec lequel le côlon a des correspondances nerveuses. Bien entendu, le diagnostic de cette maladie doit être auparavant réalisé par des professionnels de santé avant toute démarche de soins particulière. A travers les examens médicaux nécessaires, ceux-ci pourront écarter toutes les potentielles pathologies digestives pouvant présenter des symptômes similaires afin d’éviter des retards de prise en charge de celles-ci. Conclusion : Pour résumer, si les examens complémentaire médicaux et les traitement médicamenteux n’ont pas améliorer vos symptômes, ne vous découragez pas !! L’ostéopathie peut être un bon recours et avoir de très bons résultats. Retrouvez plus d’articles sur en cliquant ici. Vous pouvez prendre rendez-vous via la page d’accueil ou directement sur Doctolib en cliquant ici.

Maux de tête

Ostéopathie et maux de tête

La prévalence de la migraine a pu être estimée à près de 20 % de la population adulte avec une nette prédominance féminine  (environ 3 femmes pour un homme). Mais plus incroyable encore : 80 % des migraineux ne consultent pas ! Les symptômes des maux de tête peuvent avoir plusieurs origines : excès alimentaires, stress, fatigue, règles, mauvaise posture, sinusite, vertiges, problèmes oculaires ou dentaire, infection microbienne, surcroît de travail, séquelles de traumatisme,…. Maux de tête : migraine ou céphalée ? La migraine : C’est une douleur en hémi crâne pulsatile qui augmente à l’effort associé à une photo phonophobie (intolérance à la lumière et/ou au bruit), nausées, vomissements et parfois des auras (signes annonciateurs d’une crise : trouble de la vision, de l’audition etc…). Elle dure de 4 à 72h sans traitement. La cause de ses migraines serait soit : Vasculaire : vaso constriction suivit d’une vasodilatation et c’est la vasodilatation qui est douloureuse car elle comprime les méninges. Hormonale : possibles implications des œstrogènes. Les céphalées : Ce sont des maux de tête qui apparaissent des deux côtés de la tête (bilatérale), en casque à titre de pression ou de serrement non augmenté à l’effort et non associé de signes associés. Il existe différents types de céphalées : Aigues d’apparition brutale, progressive ou localisée (sinus, ophtalmique) Paroxystique récidivante (algie vasculaire de la face, névralgie du trijumeau etc…) Chronique et continue (céphalée de tension, céphalée par abus d’antalgique)  La douleur d’une céphalée de tension est différente de celle d’une céphalée migraineuse : elle est plus diffuse qu’en cas de migraine, continue et non pulsatile, peu ou moyennement intense et sans signes digestifs associés. La céphalée de tension, plus répandue que la migraine, affecterait 20 à 40 % des adultes. C’est l’évolution dans le temps qui nous oriente sur le diagnostic de céphalées ou de douleurs faciales. Le rôle de l’ostéopathe sur les maux de tête : Les techniques seront différentes si vos migraines sont dues à des tensions liées au stress, à un désordre hormonal, à des tensions musculaires ou articulaires. Elles vont permettre d’améliorer le drainage du cerveau, faire baisser la pression et libérer les tensions. L’ostéopathe travaillera aussi sur le muscle de la respiration, le diaphragme. En effet, en cas de contraction continue de ce muscle, certains muscles du cou (qui sont respirateurs accessoires) peuvent eux aussi être en tension et provoquer des maux de tête. D’après Thibault Dubois, porte-parole du Syndicat français des ostéopathes :  « La physiopathologie (la cause) de la migraine est très compliquée et fait encore l’objet de recherches. Un ostéopathe ne peut pas prétendre la guérir. Néanmoins, nous pouvons lever les tensions musculaires. Cela va abaisser le seuil de déclenchement de la douleur et réduire notablement la fréquence et l’intensité des crises  » Dès la 1ère séance vous noterez des résultats, notamment en terme de fréquence et intensité de vos “crises” de maux de tête. Certains patients ont quant à eux un terrain plus compliqué où plusieurs facteurs jouent sur le taux d’apparition et l’intensité de ces migraines. Plusieurs séances pourront être nécessaires dans ces cas-là. En résumé : Un mal de tête récurrent n’est jamais anodin. Si vous vous reconnaissez dans cet article, que vous êtes sujet aux maux de tête et que cela vous handicape, n’hésitez pas à consulter. Rappelez-vous, il n’est pas normal d’avoir mal !! Retrouvez plus d’articles sur en cliquant ici. Vous pouvez prendre rendez-vous via la page d’accueil ou directement sur Doctolib en cliquant ici.

5 erreurs alimentaires

En l’espace de 10 000 ans, le génome humain a évolué de moins de 0,001%. Pourtant, notre modèle alimentaire a été complètement bouleversé en quelques décennies. Des baies, des légumes, des graines et de la viande sauvage, nous sommes passés aux sodas, au fast-food, aux céréales soufflés, à l’aspartam, aux plats préparés, au poulet élevé aux hormones et aux antibiotiques. Nous allons évoquer ensemble 5 erreurs alimentaires fréquemment retrouvées dans le quotidien. Voici 5 erreurs alimentaires à ne pas commettre. Café au lait : C’est un mélange à éviter de toute urgence ! Le tanin contenu dans le café ou le thé précipite la protéine du lait (caséine) et la rend très indigeste. Ceci épuise les organes de la digestion comme le pancréas, le foie et l’intestin. Répartition des repas : Vous l’avez probablement déjà entendu par un proche « le petit déjeuner est le repas le plus important de la journée », c’est VRAI ! Le petit déjeuner doit apporter le quart de la ration calorique quotidienne. Il vous permet de tenir pour le reste de la matinée. En le sautant vous risquez une répartition anormale du besoin calorique…Et probablement un risque de grignotage entre les repas par la suite. Lors du déjeuner si on mange peu (pour garder la ligne) il a un manque d’acides aminés nécessaires à la synthèse de sérotonine, qui régule l’humeur et le comportement alimentaire. Ceci provoque aussi le grignotage jusqu’au diner. Attention à ne pas faire un déjeuner trop copieux non plus, ceci peut provoquer somnolence, lourdeur digestive et diminue donc votre efficacité… Au diner, mieux vaut faire un repas léger ! Les personnes qui n’ont pas eu le temps de faire un vrai déjeuner vont se rattraper sur le diner (car le corps n’a pas reçu sa dose énergétique suffisante lors du déjeuner). Hors la digestion est ralentie la nuit car notre corps y effectue un grand nettoyage, et lui infliger une grosse digestion juste avant le coucher l’oblige à être en surconsommation. Produits laitiers : Le lactose est un sucre (glucide) qui est présent dans le lait. Il est digéré dans l’intestin par une enzyme, la lactase, qui transforme le lactose en glucose + galactose, plus facilement digeste. Hors cette enzyme disparait chez 80% de la population après la deuxième poussée dentaire. Après cette période le lait devient un aliment indigeste. Et les lobbys laitiers ont bien compris cette problématique avec la commercialisation du lait « facile à digérer » ou « sans lactose ». Cependant il contient beaucoup de galactose qui peut poser des problèmes au foie. L’indigestion du lait traduit donc des troubles digestifs (ballonnements, lourdeurs d’estomac). Mais pas de panique, si vous ne pouvez pas vous passer de votre nuage de lait dans votre café ou votre thé, le lait végétal peut très bien remplacer le lait animal sans tous ses inconvénients. Muesli : Le muesli est un mélange de flocons d’avoine et d’autres ingrédients dont des graines et des fruits frais et secs, habituellement consommé au petit déjeuner mélangé à du lait. Pour une bonne assimilation, les céréales ne devraient pas être mélangées entre elles, ni associées à des sucres rapides comme les fruits secs. Mélangé avec du lait, peu digeste, cela  provoque des fermentations lactiques. Grignotage : Vous le savez, grignoter vous fait prendre du poids (surtout les sucres rapides comme les sodas, les gâteaux industriels etc..), mais pas que !! En effet lorsque nous mangeons en dehors des heures de repas habituelles, la nourriture subira un traitement incomplet. Évidemment, comme l’organisme n’est pas en besoin réel de nourriture, celle-ci sera stockée, favorisant la prise de poids. De plus Le corps ainsi sur-stimulé s’épuise rapidement. La digestion demande un effort colossal et mobilise toute l’énergie qui pourrait être consacrée, entre autre, au système immunitaire. Le grignotage, au-delà des kilos qu’il induit, est donc néfaste pour l’équilibre du corps.   En résumé : Vous n’avez plus d’excuses pour ces 5 erreurs alimentaires, la santé passe par un équilibre dont l’alimentation est la base. Respecter ces quelques règles d’hygiène alimentaire et vos intestins et votre corps vous diront merci. N’oubliez pas d’effectuer une activité physique régulière pour évacuer le stress et entretenir un bon état circulatoire et articulaire. Retrouvez plus d’articles sur en cliquant ici. Vous pouvez prendre rendez-vous via la page d’accueil ou directement sur Doctolib en cliquant ici.

Ostéopathie et stress

Selon l’INRS (Institut National de Recherche et de Sécurité), 1 salarié européen sur 5 déclare souffrir de troubles de santé liés au stress au travail. Aujourd’hui, ce sont environ 80% des consultations médicales qui seraient liées au stress ! La prise en charge du stress constitue donc un enjeu sociétal important. Le stress, définition : Le stress est, en biologie, l’ensemble des réponses d’un organisme soumis à des pressions ou contraintes de la part de son environnement. Ces réponses dépendent toujours de la perception qu’a l’individu des pressions qu’il ressent. Vous pouvez, par exemple, souffrir d’insomnie dû au stress. Il se caractérise par une hyper-vigilance, un réveil matinal précoce, boule épigastrique (la boule au ventre), palpitations et crampes, un sentiment d’insécurité ou encore une difficulté à se détendre. Lorsque vous êtes stressé c’est votre corps qui le traduit physiquement, on parle alors de somatisation. En effet le stress est à la fois un état émotionnel mais aussi une somatisation corporelle. Il représenterait le facteur de risque le plus important pour la santé avec le tabac : un homme sur cinq et une femme sur trois sont touchés. Lors d’un stress, qu’il soit physique ou psychique, on a  une activation du système nerveux autonome ainsi que l’activation du système hormonal. Quel est le rôle de l’ostéopathe ? L’ostéopathie est une thérapie holistique, c’est-à-dire globale ; l’ostéopathe va donc s’appliquer à traiter tout ce qui pourrait perturber votre système de régulation du stress. Le travail des ostéopathes consiste essentiellement à réguler le système nerveux autonome en le rééquilibrant Les techniques ostéopathiques permettent de: réguler l’hyperactivité musculaire (diminution des spasmes musculaires, transit intestinal), réguler l’hypersensibilité des organes (douleurs musculaire, douleurs intestinales, envies pressantes d’uriner), relâcher les structures environnantes des viscères grâce aux techniques viscérales (système digestif, glandes endocrines, …), et leur permettent donc un meilleur fonctionnement, traiter les maux de tête et migraines avec l’aide de techniques cranio-sacrées. En complément des séances d’ostéopathie il est important de trouver un exutoire qui vous permet de vous défouler. Recréer les adaptations physiologiques du stress volontairement pour réapprendre à votre corps à y faire face comme l’activité physique, le yoga, la méditation … Retrouvez plus d’articles sur en cliquant ici. Vous pouvez prendre rendez-vous via la page d’accueil ou directement sur Doctolib en cliquant ici.